Réflexions sur le thème de la fiction en général, vos textes, mes textes, tout ce qui touche à ce site, bref : un fourre-tout de non-fiction.
Dans lequel je ne râle pas, ou alors pas plus que d'habitude, en général.
En général, je râle pas souvent.
Ouiii, j'ai des mois de retards. Plusieurs dizaines de mois, mais voyez, ça, faut pas le sous-entendre avec vos gros yeux, parce que ça culpabilise ! Je vous vois, je vous vois !
Alors aujourd'hui, je casse la malédiction, justement. J'avais déjà réalisé une petite analyse de l'histoire Cody & la Tour, de monsieur Vault_ dans ce non-rantbook, si vous faites défiler les onglets en haut à gauche, vous devriez la retrouver.
J'y expliquais en quoi j'y avais vu un conte profond sur les histoires en général, dans lequel les personnages représentaient des aspects des contes en général.
Deuxième opus de cette saga, Opaline & la Tour de la Sorcière raconte l'entrée d'Opaline dans la Tour aux mille étages, épisode plus sombre et nuancé que le très pastel premier volet !
Et du coup, une suite de la suite avec les aventures de Dust sont en train d'être publiées (et j'ai énormément de retard de lecture là-dessus aussi !)... Voilà voilà pour l'instant pub.
Oh et évidemment, ce qui suit va spoiler l'intrigue d'Opaline, donc on est repartis pour l'alerte spoiler !
Ne lisez pas ce qui suit sans aller lire Opaline & la Tour, sinon un bébé chaton va mourir !
... Ou naître, si vous n'aimez pas les bébés chatons...
...Ne me demandez pas comment ça marche...
Bon, voilà pour l'alerte spoiler.
Bref, ce qui m'avait fait plaisir, c'est qu'apparemment ma première analyse avait plu à l'auteur... Ce qui ne veut pas dire que "j'avais vu juste" mais qu'au moins selon lui ma façon de voir l'histoire tenait debout... Ce qui n'était pas gagné parce que je partais vachement loin, quand même !
Mais voilà, pour moi, quand on casse le quatrième mur dans une histoire, soit c'est juste un ressort comique, soit on veut dire quelque chose avec et... Ça se ressent. Et là, avec Cody, j'avais ressenti ce genre de choses, et avec Opaline c'est pareil.
Ça commence dès le prologue qui, comme chez Cody, fait parler le narrateur en tant que narrateur et installe dès le départ une mise en abyme qui fait tilter les lecteurs attentifs.
"Ceci n'est qu'une histoire, et notre imagination en sera les seules frontières." lisait-on dans Cody
Voici ce qu'on a dans Opaline :
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